mardi 25 janvier 2011

Jean-Jacques Rosa : "La France doit sortir de l'euro"



Jean-Jacques Rosa, économiste libéral, est professeur des Universités et consultant en microéconomie et stratégie. Il dirige le Master of Business Administration de Sciences Po qu'il a créé en 1993. Il y enseigne l'analyse des prix, des marchés, et des stratégies de la firme.
Jean Jacques Rosa est spécialiste de théorie financière et de l'économie de l'entreprise

mardi 7 décembre 2010

DSK : "Europe ! Europe !! Europe !!!"

 
(...) « la solution la plus ambitieuse serait de créer une autorité budgétaire centralisée avec une indépendance politique comparable à celle de la Banque centrale européenne. Cette autorité établirait pour chaque pays sa politique budgétaire et allouerait des ressources à partir d'un budget central […] » (...).

Source : Les échos.

Olivier Delamarche sur l'appel de Cantona

mardi 30 novembre 2010

L'Otan veut l'unité Europe-Amérique. Oui mais contre qui?

Le dernier sommet de l’OTAN, qui  a rassemblé il y a quelques jours les 28 pays membres à Lisbonne,   serait, dit-on, un des plus importants qui aient eu lieu. Afin de définir un nouveau « concept » justifiant l’existence de l’organisation, les alliés y ont passé en revue l’ensemble des menaces auxquelles elle devrait faire face dans l’avenir. Ces menaces balayent un spectre très large qui va de la guerre cybernétique au changement climatique en passant par le terrorisme, justification de la guerre en Afghanistan, et la menace de missiles nucléaires qui pourraient partir d’un Etat voyou. Il est un autre risque que l’on n’a pas avoué puisque, dans le cadre du partenariat stratégique, le président Medvedev avait été invité, mais que les Etats-Unis ne manquent pas d’agiter auprès de leurs alliés comme si le communisme ne s’était jamais effondré : la menace russe.  
(...) a été rendu officielle et approuvée par tous les membres la mise en place d’un bouclier anti-missiles stratégique, dont on sait combien il est mal ressenti par la Russie.

Un instrument de contrôle politique

(...) l’OTAN est aujourd’hui, moins une alliance militaire qu’un moyen de contrôle politique par les Etats-Unis de leurs « alliés».
(...)  les pays d’Europe occidentale ne consacreront bientôt qu’à peine plus de 1 % de leur PIB à la défense, pour 4,6 % aux  Etats-Unis - soit 43 % des dépenses militaires mondiales.
Les Etats-Unis ont beau se plaindre de l’effondrement progressif de l’autre pilier de l’Alliance sur lequel, au moins en théorie, ils aimeraient compter, ce fait est déjà pris en compte par leurs théoriciens : pour le néo conservateur Robert Kagan, ( La puissance et la faiblesse, 2003 ), il est acquis, que les Etats-Unis sont une puissance « martienne », vouée à la guerre et pleinement acteur de l’histoire contemporaine, tandis que les Européens ne sont plus que des « vénusiens », adonnés à l’amour et aux bons sentiments et oublieux du tragique de l'histoire, trop heureux d’abandonner le soin de leur défense à leur grand allié.
Et n’est-ce d’ailleurs pas ce qu’ils ont voulu ? Les folles spéculations de Z.Brzeszinski (Le grand échiquier, 1997) partent de l’idée que le seul moyen que l’Europe reste pour les Etats-Unis un allié sûr, qu’elle ne bascule pas dans un bloc eurasiatique hostile, était de la « castrer », d’anesthésier sa volonté, au travers d’un contrôle étroit de la politique des pays d’Europe occidentale (dont le dernier film de Polanski, The ghost-writer donne sans doute une idée) et d’organismes comme l’OTAN.
Que l’assujettissement entraine la baisse de l’effort de défense, c’est ce que le général de Gaulle avait prévu dans une incise, passée alors inaperçue, de sa célèbre conférence de presse du 23 février 1967 où il annonçait le retrait de la France de l’organisation intégrée de l’OTAN.
« La volonté qu’a la France de disposer d’elle-même, volonté sans laquelle elle cesserait bientôt de croire en son propre rôle et de pouvoir être utile aux autres, est incompatible avec une organisation de défense où elle se trouve subordonnée. »
Autrement dit, de Gaulle posait le théorème suivant, que la suite des événements devait valider : la propension d’un pays à payer pour sa défense – et donc à demeurer un allié sûr - est proportionnelle à son indépendance. Pas d’indépendance, pas de défense.  
On peut s’interroger sur les menaces passées en revue au sommet de Lisbonne, quant à leur réalité : Russie, terrorisme (sur lequel on peut en tous les cas dire qu’il ne se joue pas en Afghanistan), états-voyous, ou quant à leur caractère spécifique au bloc occidental : réchauffement climatique, qui, nous semble-t-il, serait plutôt du ressort de l’ONU.
 (...)
Roland Hureaux.

L'article complet sur Marianne2.fr

La dictature pour sauver l'euro ?



Petit rappel :

vendredi 26 novembre 2010

Campagne de l'UPR de François Asselineau pour une sortie de l'euro

Si vous souhaitez aider l'UPR, parti dont l'objet est de sortir la France de l'Union européenne initié par François Asselineau, vous pouvez suivre l'appel lancé sur le site et participer de façon citoyenne à l'information des français :


Tract sur la sortie de l’Euro, mode d’emploi

Alors que le désastre économique et financier de l’euro se précise, et que les événements s’accumulent pour prouver que l’UPR est, depuis 3 ans et demi, le SEUL mouvement politique lucide et responsable capable de sauver la France du péril extrême dans lequel elle s’enfonce, il nous semble nécessaire d’accélérer notre très sensible montée en puissance et notre visibilité sur le terrain.
Nous demandons en conséquence à tous nos adhérents et à tous nos sympathisants :
  • - de prendre connaissance du tract ci-joint qui précise le programme de l’UPR pour sortir de l’euro,
  • - de le diffuser au maximum à toutes leurs connaissances, familiales, amicales et aussi, si possible, professionnelles,
  • - pour ceux qui en ont la possibilité matérielle, d’imprimer et de photocopier [à leurs frais, hélas....] ce tract en couleurs (de préférence) ou en noir et blanc et de le diffuser tout autour d’eux, notamment aux personnes âgées qui n’ont souvent pas accès à Internet. Même quelques dizaines de tracts photocopiés peuvent être très précieux pour diffuser notre programme sur l’euro,
  • - de le diffuser sous toutes ses formes (papier et numérisé) et par tous les moyens à votre disposition (courriel, blog, réseaux sociaux, courriers, affichage, distribution, dépôt dans les lieux publics et privés,… ).
La situation de la France s’aggrave et nous sommes là pour prouver que les Français ne vont pas laisser tomber la France.
AUX TRACTS CITOYENS !


Tract à télécharger.

Source : http://www.u-p-r.fr/